21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 22:27

Dimanche, nous voterons pour le premier tour des élections municipales à Aix-en-Provence.
Parce que nous aimons notre ville et ses habitants et que nous voulons renouer avec l'éthique, la transparence et la démocratie, nous souhaitons pour Aix un autre avenir : il est temps d'entamer une nouvelle page de notre histoire. Avec Édouard Baldo, nous voulons construire de nouveaux projets pour Aix, des projets réfléchis, concertés et à même d'améliorer notre quotidien. Nous voulons faire confiance à la jeunesse, à l'innovation et aux citoyens.
Ne nous y trompons pas ! Un sondage France 3 / La Provence le montre : dimanche, seul le vote Baldo peut changer la donne à Aix ! Je connais bien Édouard et je suis fière de faire partie de son équipe. Il est aujourd'hui le meilleur maire possible pour les Aixoises et les Aixois.
Dimanche, je voterai et vous appelle à voter pour Édouard Baldo. Pour que notre ville retrouve le chemin de l'avenir.

> Retrouvez le programme d'Édouard Baldo pour Aix

> Découvrez l'équipe d'Édouard Baldo

Dimanche, pour Aix, votez Édouard Baldo
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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 21:45

Hier soir, je participais au plateau participatif d'Anonymal où je représentais Édouard Baldo.

Pendant le débat, Sophie Joissains a martelé sans rire que si la police municipale n'intervenait pas au Jas-de-Bouffan c'est que seule la police nationale y était autorisée. C'est un mensonge éhonté : la loi autorise bien la police municipale à intervenir dans les zones urbaines sensibles !

Si la majorité Joissains l'avait voulu, elle aurait pu revoir l'accord avec la police nationale pour enfin assurer une présence forte de la police municipale dans nos quartiers et notamment sur le Jas, qui compte pas moins de 30 000 habitants que Maryse Joissains n'a cessé d'ignorer.

La loi de 2007 donne au maire de larges pouvoirs en matière de sécurité et prévention : demain en élisant Édouard Baldo, les Aixoises et les Aixois auront enfin un maire qui assume ses responsabilités et ne se défausse pas par le mensonge.

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2 janvier 2014 4 02 /01 /janvier /2014 10:47

Chers amis, chères amies,

Je tiens à vous souhaiter, ainsi qu'à vos proches, une très bonne année !

2014 sera une année politique importante. Au plan national d'abord, puisqu'il s'agira de continuer les efforts engagés pour la bataille de l'emploi. De nouveaux engagements du président de la République seront tenus : après la loi sur la refondation de l'école, la réforme de l'audiovisuel, les assises de la solidarité internationale, les 25 milliards d'économie (2013-2014), le programme d'investissement d'avenir de 12 milliards d'euros, les 30 000 emplois créés grâce au CICE (et les 100 000 à venir en 2014), la loi sur la transition énergétique, entre autres mesures. Dès le mois de janvier, l'Assemblée nationale reprendra ses débats sur le projet de loi pour l'égalité femmes-hommes déposé par Najat Vallaud-Belkacem. En juin, nous voterons pour, je l'espère, changer de majorité au Parlement européen et offrir un autre avenir à l'Europe et à la France. Tout au long de l'année, la discussion se poursuivra autour de la grande réforme fiscale annoncée par Jean-Marc Ayrault, qui permettra de rendre nos impôts plus justes.

Mais évidemment, l'évènement politique de 2014, ce sera les élections municipales des 23 et 30 mars. À Aix-en-Provence, avec Édouard Baldo, nous avons mis en route la dynamique de la victoire !

Je vous donne rendez-vous avec Édouard le 12 janvier aux Platanes. À cette occasion, Édouard présentera ses vœux aux Aixoises et aux Aixois et dévoilera quelques unes de ses grandes priorités.

carton-voeux.jpg

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 20:40

Dimanche dernier, les électeurs et les électrices des primaires citoyennes ont qualifié Édouard Baldo et Jacky Lecuivre pour le second tour. Ce résultat est évidemment une déception pour moi, mais je continue de croire que les idées que j'ai portées pendant cette campagne – le renouvellement politique et démocratique, la place de la jeunesse, l'action pour l'économie et l'emploi – doivent continuer à vivre dans cette campagne.

 

Après consultation de mon équipe de campagne, j'ai donc décidé de soutenir la candidature d'Édouard Baldo pour le second tour dimanche prochain.

 

Ce soutien n'est pas le fruit de tractations, il est le résultat de l'écoute des électeurs.

 

Je connais bien Édouard, et sur de très nombreux points nous nous retrouvons. Il défend comme moi les valeurs de transparence, de concertation et de respect.

 

Mais surtout, en arrivant en tête dimanche, Édouard Baldo a prouvé qu'il était le meilleur candidat pour réaliser le rassemblement indispensable à la victoire contre le clan Joissains.

 

Dimanche 20 octobre, votre voix comptera : c’est vous qui déciderez de celui qui affrontera Maryse Joissains en mars 2014. En confiant votre voix à Édouard Baldo, vous ferez le choix de l'éthique, de l'innovation et du renouveau.

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 07:41

Chères amies, chers amis,

Les résultats du premier tour des primaires citoyennes à Aix sont maintenant connus : Édouard Baldo et Jacky Lecuivre sont qualifiés pour le second tour dimanche prochain. Le processus ouvert et démocratique des primaires leur donne une légitimité incontestable et je les félicite tous les deux pour leur qualification.

Je pense aujourd'hui à celles et ceux qui m'ont accompagnée dans cette campagne depuis plusieurs mois et qui m'ont apporté leur soutien hier. Je veux les remercier chaleureusement pour leur confiance.

Ensemble nous avons voulu faire le pari de la mobilisation citoyenne. Mais avec seulement 2821 votants pour ce premier tour, nous sommes bien en deçà de ce que nous espérions. Je le regrette : le mouvement populaire reste à construire.

La politique ne peut se vivre en cercles restreints : pour gagner en 2014, nous devons retourner vers les Aixoises et les Aixois avec un véritable projet.

Ce sera le sens de mon engagement dans les jours et les semaines qui viennent.

Amitiés,

Gaëlle Lenfant

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 13:24

Mardi 8 octobre, au cours d'un débat organisé à SciencePo Aix, j'ai répondu aux questions des étudiants sur ma vision de la ville : l'éthique et la transparence, la jeunesse, l'emploi.  

 

> Retrouvez à partir de 8:08 le reportage de France 3 Provence Alpes : cliquez ici  

 

L'interview des candidats par France 3 :

   

 

Mercredi 9 octobre, j'étais sur le plateau de LCM avec les autres candidats pour répondre aux questions des journalistes. J'ai notamment affirmé ma volonté de rassemblement et la nécessité de plus de transparence pour refonder le lien entre élu.e.s et citoyen.ne.s.  

 

> Lire le compte-rendu de ces entretiens par La Provence : cliquez ici  

 

L'émission de LCM (mon intervention à partir de 27:00)

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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 13:14

Retrouvez le second tract de ma campagne pour les primaires citoyennes :

 

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 14:30

J’ai adhéré au Parti socialiste le 22 avril 2002, le lendemain de l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle : le combat contre l’extrême-droite est au cœur de mon engagement politique.


Alors que l’université d’été du FN se réunit à Marseille, aujourd’hui vice-présidente d’une région où ce parti enregistre parmi ses meilleurs scores et demain – si je suis élue – maire d’Aix-en-Provence, je continuerai de faire de la lutte contre les idées de l’extrême droite un engagement personnel. 


Ce ne sont pas les électeurs du Front national que je condamne : dans une économie en crise et un monde de plus en plus complexe, le repli sur soi et les discours simplistes et démagogiques du FN peuvent sembler une réponse à celles et ceux qui sont en perte de repère et manquent de lien et de confiance avec leurs élus. Mais c'est pourquoi il est de ma responsabilité, comme celle de tous les élus républicains, de casser les fantasmes sur lesquels ces discours prospèrent.


Non, l’immigration ne coûte pas cher : elle rapporte au contraire de l’argent à l’État. Non, l’identité de notre pays n’est pas en danger : il suffit d’ouvrir un livre d’histoire pour se rendre compte que l’identité de la France – dont singulièrement celle de la Provence – est le produit de différents peuples et différentes cultures. Non la fermeture des frontières n'amènerait pas la construction de cet Eden que promettent les extrémistes. Au contraire, c'est l'ouverture sur nos voisins, la construction collective, l'Europe, la solidarité avec les pays émergents, et singulièrement l'Afrique pour nous Méditerranéens, qui seront source de progrès pour tous et apporteront des réponses de sortie de crise.  Il faut le dire clairement : non seulement les Le Pen apportent de mauvaises réponses, mais ils ne posent même pas les bonnes questions.


Cette intransigeance sur le fond, je veux la porter également à ceux qui, à droite, sont prêts à sacrifier les valeurs de la République dans l’espoir futile de prendre quelques voix au FN.  

Il est de notre responsabilité d'élus républicains, de droite comme de gauche, non seulement d’assumer nos valeurs face à l’extrême droite mais aussi de les appliquer lorsque nous sommes en responsabilité. Et moi qui suis de gauche, progressiste, je veux dire clairement que porter le changement, porter une politique de solidarité et de vivre ensemble, cela ne peut s’arrêter aux mots : des actes sont attendus et nécessaires.


Le risque de voir des villes de notre région dirigées par le Front national après les prochaines municipales est réel et inquiétant. Souvenons nous des politiques racistes appliquées par les Mégret à Vitrolles. Souvenons nous de la catastrophique gestion des fonds publics par les élus FN. Souvenons nous également que tous les maires FN élus en 1995 ont ensuite été mis en examen ou condamnés par la justice.


En tant que citoyenne et républicaine, je n’entends pas laisser les idées de l’extrême droite prospérer, ni en 2014 ni après, et je resterai ferme sur cet engagement.

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15 avril 2013 1 15 /04 /avril /2013 16:45

Suite à ma tribune Pour un choc local de confiance et de transparence dans Mediapart, j'ai donné aujourd'hui une interview au site Marsactu. En voici la vidéo :

 


Le talk actualité Marsactu : Gaëlle Lenfant... par marsactu

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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 10:06

Ma tribune publiée dans Mediapart le 5 avril 2013 :


CC - Global X / FlickrLes aveux de Jérôme Cahuzac sont un choc terrible : ses actes comme ses mensonges sont inacceptables. J’ai reçu ces derniers jours de nombreux messages, de militants et sympathisants de gauche ou de simples citoyens, m’exprimant leur stupéfaction et leur dégout. Je partage ce désarroi de tous ceux qui œuvrent chaque jour pour le progrès et qui souhaitent relever le niveau des débats.

Certains à droite voudraient croire et faire croire que cette affaire n’embarrasse que la gauche. C’est oublier que ces révélations arrivent malheureusement après une série d’autres scandales qui, de Woerth à Sarkozy en passant par les affaires locales, jettent en réalité le discrédit sur l’ensemble du monde politique, et plus largement, sur l'ensemble de celles et ceux qui à un moment de leur vie décident de prendre un engagement citoyen. Surtout, elles arrivent dans un contexte de crise économique et sociale sans précédent : plus que jamais les Françaises et les Français portent un regard sombre sur leur pays et leurs institutions. À en croire les sondages, la majorité d’entre eux est même convaincue que les élus sont corrompus et agissent avant tout pour leurs intérêts personnels. C’est une véritable défiance qui s’installe à l'encontre des élus : le sentiment que les politiques seraient un monde à part, incapables de comprendre et donc de répondre aux attentes des Françaises et des Français. Nous en connaissons les conséquences : désaffection du politique et de la démocratie, populisme, montée de l’extrême-droite, rejet de l’autre.

Dans son intervention de mercredi dernier, le président de la République a trouvé les mots justes. Il a proposé trois mesures fortes : une réforme pour l’indépendance de la justice, la surveillance des intérêts des ministres et parlementaires pour lutter contre les conflits d’intérêts, l’aggravation des sanctions pour les élus condamnés. Je soutiens pleinement ces initiatives.

Mais dans le contexte actuel, il est illusoire de croire que l’action de l’État pourrait suffire. Car la défiance n’épargne pas les institutions et les élus locaux. Alors que les élections municipales approchent, je crois qu’il est de notre responsabilité en tant que militants politiques, et sans forcément attendre l’action de la loi, d’insuffler un nouveau souffle démocratique dans nos pratiques locales et nos collectivités. Nous devons réaliser un choc local de confiance et de transparence.

Dans le climat pesant actuel, la première des exigences est que nos concitoyens puissent avoir la certitude que leurs élus travaillent pour le bien de leur territoire et pour l'intérêt général. Les collectivités peuvent décider d’agir :

  • La lutte contre les conflits d’intérêts ne peut concerner seulement les mandats nationaux : les maires, adjoints, présidents et vice-présidents d’intercommunalité doivent déposer les mêmes déclarations d’intérêts exigées des parlementaires.
  • Les citoyens doivent savoir comment et pour quoi est utilisé l’argent public : subventions aux associations, investissements, rémunération des collaborateurs de cabinet, externalisation auprès de sociétés privées, etc. L’open data doit être généralisé y compris et surtout pour les questions financières.

Au delà de la transparence dans le fonctionnement, il est nécessaire aujourd’hui pour les élus d’accepter que la légitimité de leurs actions ne peut se fonder uniquement sur l’élection. La démocratie participative ne peut rester un simple slogan, elle est nécessaire pour rétablir la confiance :

  • La concertation doit être généralisée au delà de l’élaboration des plans et schémas obligatoires : toute infrastructure, toute politique doit faire l’objet d’une discussion en amont avec les parties prenantes et les citoyens. Les grands axes politiques d’une collectivité pourraient faire l’objet d’appels publics à contributions sur un portail internet dédié.
  • Les structures permanentes de concertation, tels le conseil de développement ou les conseils de quartier, doivent être renforcés et dotés des moyens nécessaires. Le conseil de développement ou des conseils de quartier doivent pouvoir, à une majorité qualifiée, faire inscrire une question à l’ordre du jour du conseil municipal ou communautaire.
  • Le droit de pétition doit être renforcé : si des électeurs ont déjà possibilité de demander l’inscription d’une question à l’ordre du jour du conseil municipal, il faut prévoir, pour des questions liées à la proximité, qu’un seuil de signatures puisse déclencher un référendum local. Comme le fait déjà la Maison Blanche avec le site petitions.whitehouse.gov, un processus d’interpellation publique des élus pourrait également être mis en place : au dessus d’un certain nombre de signatures, la municipalité aurait l’obligation de fournir une réponse officielle et publique.

Au delà de ces mesures locales, je reste convaincue de la nécessité de mettre fin au cumul des mandats : un-e maire défend les intérêts de sa commune, un-e parlementaire représente la Nation. Cumuler des mandats exécutifs ne permet ni de mener à bien l'ensemble des missions ni de tourner la page des conflits d’intérêts institutionnalisés. De plus, je suis favorable à une limitation des mandats exécutifs dans le temps qui permettra un renouvellement des générations.

La crise que nous traversons, en jetant le discrédit sur les représentants du peuple, les élus politiques ou associatifs ou même les militants, est cruelle pour l'immense majorité d'entre eux qui accomplissent leurs tâches au nom de leurs valeurs et dans le souci exclusif de l’intérêt collectif. Nous vivons parfois comme une injustice de devoir nous justifier de notre bonne foi à cause de quelques uns qui se sont cru autorisés à se départir de l'honneur et de la responsabilité que leur confèrent leurs pouvoirs.

Je prendrai toute ma part à l'effort nécessaire pour rétablir la confiance entre les citoyens et leurs représentants. C'est mon devoir d'élue comme de militante.

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